Il sentait bon le sable chaud !
Tout ceux qui ont joué ou ont eu l’occasion de voir passer des images du jeu vous le diront : la direction artistique de Path of Fire est à tomber par terre. Impossible de rester insensible face aux paysages, aux bâtiments, bref, devant n’importe quel élément visuel du jeu. C’est fou de voir à quel point un jeu qui commence pourtant à accuser le poids des années (Guild Wars 2 est sorti en 2012) peut se rattraper avec une DA bien soignée. D’autant plus qu’on nous propulse plein sud, l’occasion de visiter des lieux plus inattendus comme des déserts et autres oasis.
La chevauchée fantastique
Alors, oui, cette extension n’apporte pas de révolution radicale, elle ne chamboule pas tout en renversant rageusement la table mais, à mon avis, son intérêt n’est pas là. Le but recherché par ArenaNet est clairement de pousser les joueurs à explorer. Explorer pour découvrir tous ces endroits magnifiques créés par les développeurs, explorer pour découvrir tous les secrets que renferme le jeu et, surtout, explorer pour le plaisir de se balader et d’en prendre plein les yeux.
Verdict
8/10
Ode au voyage et à la découverte, Path of Fire ne révolutionnera pas Guild Wars 2 mais il le sublime de telle manière le jeu original qu’il est difficile de faire la fine bouche. Les montures et les quelques nouveautés sont bienvenues mais il faut garder en tête, deux ans après Heart of Thorns, que force est de constater qu’ArenaNet propose une extension de qualité.