[PREVIEW] Marvel’s Spider-Man, notre hands-on lors de la Gamescom 2018

Lors de la Gamescom 2018, nous avons pu voir ce que donnait la prochaine production d’Insomniac Games, le très attendu Spider-Man. Alors que le jeu va sortir dans deux semaines tout pile (le 7 septembre), nous vous proposons un avant-goût avant la publication de notre test, très probablement aux alentours de la sortie.

Ce qui frappe avant tout quand on débute la démo, c’est une sensation presque instantanée de liberté lors des déplacements. La démo nous lâche, en effet, au milieu de New-York avec des marqueurs à suivre pour aller vers différents types de quêtes, à la manière de la plupart des jeux en monde ouvert fonctionnant sur le principes d’activités diverses à effectuer.

La première quête que nous avons choisie est de débarrasser un lieu de la présence des hommes de Fisk, un des antagonistes de la franchise de comics – que l’on a également beaucoup vu dans la série animée des années 1990. Cette phase a été l’occasion d’appréhender le système de combat qui semble avoir beaucoup de points en commun avec la série des Batman Arkham, à la différence que les interactions avec les éléments du décor semblent avoir bien plus d’importance. Il est, en effet, très fréquent que le jeu indique la possibilité d’utiliser des objets alentours pour éliminer les adversaires.

Comme dit plus haut, le système utilise des mécaniques similaires à la série de Rocksteady, si ce n’est que l’accent est plus fortement mis sur les coups spéciaux. Le jeu indique très souvent la possibilité de varier les coups, ce qui permet d’avoir des combats qui ne se résument pas à appuyer sur Carré – même s’il y a fort à parier qu’après quelques heures de jeu et des centaines de combats, on soit tenté par la facilité.

Nous avons également pu essayer une autre mission où l’on doit empêcher Shocker de braquer une banque, nous avons pu constater que le combat contre ce boss pouvait receler un bon nombre de phases intéressantes qui utilisent, là encore, les éléments du décor et demande un bon sens du timing. A confirmer sur la durée.

On le disait en début d’article, la sensation lorsque l’on contrôle l’homme-araignée est réellement excellente. Après avoir pris le coup de main – il arrive de ne pas enchaîner de manière fluide au tout début – on se rend compte que la ville a été pensée pour ces déplacements et qu’il faut aussi réfléchir à ses déplacements pour toujours avoir une accroche possible pour sa toile. Le tout donne quelque chose de très fun mais aussi « réaliste » car on ne peut pas faire n’importe quoi.

Visuellement, Spider-Man est plutôt convaincant – nous avons pu grimper en haut de l’Empire State Building et apprécier une magnifique vue en 360° de la ville et une distance d’affichage très honorable – et propose une excellente fluidité sur PlayStation 4 Pro, plateforme sur laquelle nous avons testé le jeu.

Un gros potentiel

Spider-Man nous a fait une très bonne impression lors de cette session de jeu et nous n’avons finalement que peu de choses à reprocher au jeu si ce n’est parfois des combats un peu brouillons quand un grand nombre d’ennemis se retrouve dans la mêlée. Il faudra voir le ressenti sur plusieurs heures de jeu. Pour cela, rendez-vous pour notre test complet !

Un gros potentiel

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