[MAN VERSUS PAST] : Dragon Ball Z Saga

Tout d’abord, pourquoi ce titre ? En fait cela part d’une réflexion que je me suis faite en repensant aux longues heures que j’ai passé à jouer à Dragon Ball Z sur PlayStation 2 et une question fatidique, pourquoi autant de jeux DBZ sur PlayStation 2 ? Quelles sont les nouveautés de chaque jeu, apportent-ils une réelle innovation de gameplay et surtout pourquoi, diable, ai-je acheté tous les jeux ?

Un récapitulatif s’impose

Les titres, Dragon Ball Z Budokai 1, 2 et 3 et Dragon Ball Z Budokai Tenkaichi 1, 2 et 3 sont sortis au rythme d’un par an entre 2002 et 2007 . Évidemment, chaque jeu propose de nouveaux personnages jouables et de nouveaux modes de jeux. Pas moins de trois développeurs se partageront la licence, Bandai pour les deux premiers Budokai, Dimps pour le troisième et Spike pour les Tenkaichi.

 

L’évolution des jeux

Le premier du nom, Dragon Ball Z Budokai proposait un nombre de 24 personnages jouables. Budokai 2, lui, en proposait 35, Budokai 3 avait 44 personnages, Tenkaichi 50, Tenkaichi 2 alignait 10 nouveaux personnages et Tenkaichi 3 offrait pas moins de 18 nouveaux personnages (que l’on va chercher au fin fond des OAV), portant le total à 78 personnages.

Parmi les modes de jeu, on retrouve pratiquement les mêmes tout au long de l’évolution de la saga vidéoludique, un mode Histoire renommé suivant les jeux, un mode Championnat du monde, l’inamovible mode Duel dont tout le monde se rappelle les parties enflammées contre ses amis et un mode de jeux que l’on pourrait qualifier de Bonus.

Une dernier point à soulever ici est le gameplay, qui n’a, pour moi, connu qu’une seule modification majeure tout au long de la saga.
Alors que le premier suivait un gameplay de combat assez basique, dans un monde en 3D mais finalement les personnages se font face sur une ligne et les techniques se déclenchent après un enchaînement de coup (du type quatre fois carré et rond), la réelle évolution que je tiens à saluer est le changement total pour passer dans un monde où l’on peut vraiment se mouvoir en 3D et où les attaques ne sont plus déclenchées par un enchaînement mais par une combinaison unique (type L2 plus rond).

 

Finalement, pourquoi ça marche ?

Une de mes questions de départ était : pourquoi ai-je acheté tous les jeux, alors que certains ne représentaient pas d’attrait réel ? Je ne veux pas m’étendre sur les défauts, mais signalons tout de même les gorilles. Pourquoi les gorilles ? Parce qu’ils représentent, à mon avis, le symptôme qui à marqué Dragon Ball Z sur consoles. Oui, l’idée pouvait être sympa de pouvoir jouer avec Végéta en gorille mais le résultat est somme toute inutile. Je pose d »ailleurs la question qui à déjà fait des combats de gorille sur DBZ ?

Je pense que malgré tous les défaut que l’on peut trouver, et il y en a, c’est surtout le fan de Dragon Ball Z qui parle mais aussi et surtout le fait que j’ai passé de longues heures (ou longs jours?) à jouer à ces jeux avec un ami, fan inconditionnel de la saga, comme moi. Comment être impartial ?

Verdict

Oui, Dragon Ball Z sur PlayStation 2 c’est un peu comme Dallas, on attend toujours un nouvel épisode qui arrive mais qui finalement n’apporte pas grand chose de plus mais, malgré tout, on ne peut pas s’empêcher de regarder (Je tiens quand même à préciser que je ne regarde pas Dallas, faut pas déconner non plus!).

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